Gosaingkund-Cholang Pati-Thulo Syabru, descendez!

jeudi

Au menu, descente, descente, descente, 7h ou plus sans doute, plus de 2000m de dénivelé, pour retrouver l’hôtel de la paix (Peace Lodge), DJ Bêêê, et surtout Joss qui n’a pu nous suivre hier(sinusite ++ depuis plusieurs jours, Min l’a accompagnée depuis Cholang Pati). Il y a bien eu, tout là haut à Gosaingkund, une proposition d’itinéraire bis pour une équipe de furieux. Toula n’en a cité que 2 (Christian et Alain), et a épargné le plus grand de tous, Guy, on ne sait pourquoi. Menu bis : 2h de plus, portions plus diffiiciles aussi. Les furieux pressentis ont préféré décliner. Un peu de regrets plus tard en voyant ddans l’ap^rès midi, le trajet proposé, plus haut, sur la crête et à flanc de montagne…
De Gosaingkund(4400m) à Cholang Pat(3580m)i, on s’aperçoit beaucoup mieux en descendant de la dégradation  du sol dû au piétinement des trekkeurs et des pèlerins, que la pluie ety le dégel aggravent ensuite.Nous cotoyons un tuyau noir (24/30?), issu d’un captage qui fournit l’eau aux lodges de CP depuis Gosaingkund, ce qui fait pas mal de kilomètres. Une grosse tâche blanche au-dessus du tuyau : la glace de la nuit a autoréparé une fuite, qui reprendra dans la journée sous le soleil.
Première partie de la descente : efficacité remarquable de l’équipe, grande fluidité dans le mouvement, d’après notre président-guide, qui se moque sans doute un peu de nous.
Pas plus de problèmes pour la suite, sinon nos vieux genoux qu grincent un peu, et des petites glissades dans les endroits « glischlich » (glissant en allemand, nouveau dans mon lexique, mais on s’entend presque glisser!). Nous sommes arrivés vers 15h 45 à l’hôtel, Christian a retrouvé sa Joss, qui nous a dit avoir récupéré et apprécié beaucoup ce petit intermède privilégié, choyée par les hôteliers et Min, son guide (voir article à paraître)
Soirée un peu plus calme cette fois au Peace Lodge. Un excellent repas, et pour clore, un délicieux gâteau au chocolat, que Tula a décoré d’un message de l’équipe à notre intention (oeufs longuement et vigoureusement battus en neige par plusieurs d’entre eux, poche à douille en papier réalisée par Tula, autrefois cuisinier). Mais pas de « tshaka poum » par DJ Bêêê. Pourtant l’équipe nous a à nouveau gratifiés d’un concert « san piriri » (le tube!), que certaines (tains) ont accompagné sur la piste.
Les genoux et les cuisses se ressentant de la longue descente, la soirée s’est interrompue relativrement tôt, pendant que Gilles, Guy etTula refaisaient le monde népalais autour d’une pointe de rhum.
C’est la paix que souhaite Tula, et que comprenous nous, nous?

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